Halo pastel en cet Avril, Midi minuit, nouvel asile, Où l’ombre frêle d’une demoiselle Peint de la main d’un Eternel, Comme le vol de l’hirondelle, Vent de gaîté, de liberté -Eclosions de promesses, Subtiles allusions perverses- Qu’elle distille savamment débraillée Aux rondeurs amples dévoilées ! Je le ressens ce soir Espoir