Te voilà qui te rends au Sabbath des Sorcières ! La nouvelle recrue entre alors dans la ronde, Puis au clair de la lune enfourche leur balai, Danse autour du chaudron bouillant de leur colère
En martelant le sol de leurs gros godillots ; Quand le cercle se rompt, au fin mot de la volte, Trempe son pain au pot et la plus vieille enfin Distille son venin au cœur de la plus jeune.
De celle dont tu dis qu’elle est ta seule amie, Je ne voie que fil blanc qui retombe en quenouille Et fait bruire au fuseau un bien mauvais coton :
Son âme n'est point sœur d’un commerce équitable. Que le Diable l’épingle au rouet de l’Enfer Car c'est toi, maintenant, qu'il me faut adoucir.