Les nuits de pleine lune Les crapauds globuleux A dos de nénuphar Coassent à tue-tête Leurs poches musicales Gonflées à qui mieux mieux Un coâ par-ci Un coâ par-là Une invite à la nuit Un appel de détresse Dans l’espoir d’une princesse Le cœur gros sur la main Qui viendrait déposer Sur le front pustuleux Poisseux de l’un d’entre eux Le doux baiser de la résurrection Libera me
(le texte est un calligramme plein représentant un crapaud sur un nénuphar à la pleine lune)