Douce tromperie envahie mon cœur, Tu me conquis et m’accable de déshonneur, Infâme jalousie jamais tu ne me laisseras, Et jusqu'où ton aura me mènera ?
Je me retrouve seul, accablé d’un malheur, Que j’ai pourtant médité pendant des heures, Je m’y suis préparé pendant de longues semaines, Il ne m’empêche de développer cette effroyable haine,
Un soupçon de misanthropie, Une once de jalousie, Une pincée de rancœur, Et dites adieu au reste de mon cœur.