Monsieur, Par la présente au passé vous mets De ces carcans tout est fini m’en vais Je pars me donner le temps de travailler Et ne pas travailler un temps donné, dépassé Comme l’humanité absente de toutes ressources En crise s’écroulent tels les chiffres de la bourse Jolie canne devant les mains de pêcheurs tendues De prêcheurs vendus sur gages s’en font les prêteurs Sentent bon le menteur De boniments façonnés aux malfaçons s’abonner Se donner Une chance de vivre la vraie danse, celle Qui toi-même te guide à devenir celui, Te fait faire les choses par envie Non pour la vie dont tu défends une parcelle De ce que tu crois en être la réussite Marque déposée d’une entreprise en faillite La tienne Vaine de tout sens en tes veines atteintes De la cécité la plus éteinte, qui Toutefois se guérit tel un vieil écrit Alors tenez-vous le pour dit Cette fois c’est à moi seul qu’en revient Ce dernier mot d’une fin annoncée sans faim A vos côtés de continuer ainsi Je mets donc un terme à votre engagement aujourd’hui C’est moi qui vous remercie