Mets ta tête sur mon épaule, Que je te racconte une histoire drôle, Car nous avons passé l'age Qu'on nous disait d'être sage. J'aime tes yeux quand tu rits, Ton sourire quand on est au lit, Et je te fais des choses sans retenue Des caresses qui étaient défendue. Maintenant vu que tout est permis Je t'amène souvent au lit, Cet autel au nous nous embrassons tout nu Qui l'aurait cru ? qui l'aurait cru ? J'avais plus d'espoir J'étais dans le noir Tout d'un coup brille la lumière, Le dieu des coquins à écouté ma prière. M'a fait savoir que je suis libére, C'est permis d'aimer, je vais t'aimer. Merci dieu des coquins. Que commence le festin. 13.05.03