Je respire l'odeur d'une nature amoindrie Que les affronts de la guerre ont anéanti, Le paysage voit sa splendeur disparaître Merci les rois, d'aspirer voir votre orgueil naître.
Le souffle bouillant tabasse les corps moisis, Tandis que les corbeaux s'acharnent avec envie. Tous ces souffrants reposeront harmonieusement, Pendant que ces tyrans souffriront lentement.