Mes pétards jetés au sol sont une amorce Pour te faire danser sur les lambeaux d'autrefois. Il faut que je te dise, depuis mon entorse Je ressasse mon désir de partir, toutefois, Sans l'impulsion, tu n'as pas à traduire en morse ! Tu pourras m'accuser d'avoir un cœur de bois... Aujourd'hui, j'affirme, haut et fort un grand divorce D'avec la gentille Dame qui t'aima quelquefois. Je pars de la place en riant, je bombe le torse "Adieu" spectacle d'un mythomane en mauvaise fois ! La sorcière apparaît comme des vers sous l'écorce D'un cèdre presque brûlé, en souffrance certaines fois, Mais, au parfum intact que la vie réamorce.