Je chemine encore Et continue de fouler les chemins, Divisée entre l'espoir du rêve Et les chimères de la vie, Les rames du temps me saisissent avec violence Me soulevant, m'abaissant, Comme sur une calèche attelée A des chevaux emportés Qui m'entraînent Vers des champs de silence. .
Oh Ezéchiel, Ezéchiel le char de feu de tes cieux Ne s'est pas attelé à mes pas.