Avec des touches pâles, presque diaphanes, La mer soumise effleure et caresse la lisière des ciels De son pinceau frêle trempé dans le bleu du ciel; Elle tend et expose ses bras argentés, Dans une prière de paix et d’entente avec ce ciel Si souvent embrasé là haut et sur terre, Pour dompter et assoupir les orages dans les abysses, Et piloter le calme au sein des vagues révoltées. Les voiles soulagées vogueront alors légères Vers des vents feutrés de paix aux levants.
Et Dieu tient la palette des tons complexes et variés. Évelyne Katz 7.1.2005