Chopin prince d'un royaume Mélancolique Compose des tristes égeries pour ses lunatiques battements, Et pleure le ciel qui l'a laissé solitaire et scèptique Se noyer dans une vague déchainée de sa pauvre âme d'enfant
Mozart son frère de sang ,doté d'un coeur pure, Laisse les sons de la lyre maudite lui inspirer Des vivantes et infortunes symphonies qui se déversent sur Son malheureux et frêle déstin perdu dans l'éternité.
Atrophiés et déchus,les deux chérubins se prennent la main Loin des ténebres et des funèbres douleurs déroutantes Qui pourraient les séparer, et quittent par un petit chemin Ce monde d'artistes en proies à des pensées agonisantes.