Par un concours étrange j’ai bien souvent, enfant, Eu en main les destins d’un immense navire ; Un sous marin armé pour affronter le pire, Sa carène était toute peinte chrome et blanc.
Amiral j’ordonnais, tout un tas de boutons; « Machine TOUTE avant » … (L’œil au balairiscope)1, Par millions l’ennemi, le temps d’une syncope, Mourrait pulvérisé d’un "PROUCHHH" d’explosion.
Victorieusement je refaisais surface, Donner ma modestie, en tout bien tout honneur, Seul, car mon régiment : soit avait fui de peur, Soit ils étaient tous morts…et sans laisser de traces.
Cabotin ou j’allais, à triompher en fête, Un fait bizarre un jour surpris mon attention, Étrangement je vis mousser mon pantalon, Par l’écoutille, et un de mes trous de chaussettes !
Quel insolant osait ? Me faire un tel affront ? « C’en est de trop pour moi, il faut que je l’arrête », Chancelais-je accablé, puis me tenant le front.
Résolu d’en finir... (rangeant les allumettes), Empoignant le hublot, une lame de fond … M’expédias en cuisine et cul par-dessus tête.