La jeune et jolie demoiselle, Sous sa soyeuse et frêle ombrelle, Etend son beau regard vers lui : Cet être-là qui, couard, fuit, Las, sans joie, épleuré, aigri, Tandis qu'elle, Marie, sourit En secouant sa paire d'ailes Qui, à pousser sous son ombrelle, Un jour, vint révéler à Louis L'horreur grisâtre de la nuit, L'affreux cauchemar du proscrit Qui rêve de beaux cieux d'orgie Et d'amener la demoiselle Au lit où se meurt la pucelle.