J’ai volé plusieurs fois dans les nuages gris, Sur le désert azur de ces vives passions, Sur le bord endiablé, quelques fois endurcis, Sur les monts raccourcis de la pire raison.
Une fois cette flemme, éclatante, oh combien ? A percé le soucis des ces peurs enneigées Dans la morne alcôve, chatoyante de saints, Oh combien, dans le temps, par la foi, abreuvée ?
Et je serai présent, pour ton ultime cri, Je te prendrai la main pour soigner tes douleurs, Je me ferai piéger à l’amorce du cœur, Et mourrait à mon tour de chagrin et d’ennui !