Et ces mots que je laisse s’échapper Sont comme ces larmes desséchées Sur ce visage si fatigué Par tant de douloureuses pensées Oublie donc-la trêve de l’éternel paix Amour avide sur ce cœur d’argile Disparait donc dans l’abime fragile Ou l’espoir brisé fut vœux de souffrance Ou le désir m’apporte l’amertume potence Passe voir le tombeau dans mes entrailles Et mes peines ces célestes funérailles N’aimant rien que ce néant soudain Cet‘âme s’éteint cœur dédain…