Petite poupée de cire On ne te voit plus rire Où vas-tu partir ? Ne vends pas ton âme Elle vaut trop cher pour brûler dans les flammes Alors je vais te confier mes ailes Elles te rendront immortelles. A toi de le rencontrer Cet être tant idéalisé A toi de découvrir Le maître divin de souvenirs. Empoisonnée de ta haine profonde Tu seras cette colombe Qui cessera le désespoir D’un cœur Sali d’encre noir. Tu seras celle qui distinguera Pourquoi tu as si mal Et celle qui guérira Ce regard si pâle. Mon corps s’exhibe De mon sang il se vide Je te promets une rose Celle d’une vie en prose