Il était une fois la femme La féminité émane de son âme Chercha jardins secrets des paradis perdus Au parfum des lilas en fleurs Pour trouver gloire et bonheur
Blessée de la vie cruelle Elle quitta l’univers Pour rejoindre le ciel Parcourut paradis et enfer Pour retrouver gloire et splendeur
Damnée au fond des brasiers de l’enfer Sans pitié renversée dans la douleur Se sauva vers le paradis Belle comme une rubis Retrouva la vie en couleur
Rencontrant les divines Houris Vertueuses et jamais déflorées. Femme a le cœur atrophié Âme déchirée, désespérée Femme n’existe pas au paradis
Subit toutes les marées Âme dans le néant perdue Dans les catacombes errait En enfer, au paradis Elle ne saura jamais la paix.