Tu arrives tel la foudre, Tu reduis des villes en poudre Quant tu arrives on t'entend de loin Et tu ne laisse pas de chane aux soins
Tu viens t'abattre sur des peuples telle une maladie Et tu leur fait vivre l'enfer avant de leur ôter la vie Tu detruis des familles entieres et tu les laisses sans toit Tu remplis leur yeux de larmes et leur coeur d'éffroi Et pour finir tu les laisses mourir dans le froid,
Tu es le fruit d'un amalgame d'ambitions Tu es une réalité mortelle et sans fictions Tu es La GUERRE, la désolation Tu naquis et grandis grâce aux dépravations
J'accuse, ce qui te crée, ces gens plein de vices, Pour leur propre plaisir, on subit des supplices Roi, Prince, presendent... pensez à vos caprices
Car là ou la guerre passe, Des milliers de vie trépassent, Elle vient et les hommes sont convoqués, Les femmes sont extorquées.
Les enfants restent orphelins, Mais croient au destin. De partout dans le monde on clame, Haut et fort "la paix", on la reclame !
Assez de terre brûlée ! Assez de gens tué ! Assez de femmes violées ! Assez d'hommes déshonneurés !
Reveillez-vous ! la guerre n'est pas un leur, C'est un véritable fleau, qui nous tient à coeur ! C'est le resultat des chuchotement du diable, Et c'est un fait qu'on peut réparer mais impardonnable.