La musique, douce mélodie de la poésie, Une source indispensable de la vie, Un rayon lumineux, merveille infinie Des âmes en peine, elle ravit.
La douleur coulait sans un bruit Mais elle s’adoucissait au rythme d’un Brel Et la joie valsait en moi, du Cabrel Alors mon âme s’envolait au paradis.
Quand la musique me perce, Parfois, des étincelles de larmes se versent Je revis, vole dans les airs Revient, absolue cette quiétude première
Seule dans l’obscurité, des moments amers Saveur inégalable, inépuisable lumière Clarté d’une âme, d’un esprit, d’un corps, d’un cœur Quand le froid serrait, elle était chaleur
Une parfaite amie dans le malheur, l’allégresse La force renaît dans les moments de faiblesse La fraîcheur serre, un univers édénique : C’est la musique.
Le monde devenait un ange noir Bonheur évanoui, ennemi de mes pensées. La musique éteignait cette flamme du désespoir Luisant celle de l’espoir telle une perle dorée…
Apôtre de la vérité, de la bonté, De plus en plus, je chante sa présence Sans cette poésie, la vie serait vide de sens Elle luira en moi jusqu’à l’éternité