Dès que l’heure de l’âge a sonné, Dans l’univers de ma vie fané, Ma cristallisation en terre achevée. J’ai senti un besoin pressant avivé D’une lueur d’espoir me réclamant La présence d’âme-sœur comme inhérent. A l’horizon de l’aurore boréal qu’austral Mon regard tomba sur une silhouette verticale Une fille d’une beauté sublime à mes yeux Apparut, du coup m’a séduit. Ô mes aïeux ! Comme un soleil m’a chauffé de sa chaleur. A rendu vif tout mort en moi de vive ardeur. Telle vie terrestre faite par l’astre du jour. Et l’astre de la nuit que je regarde pour elle A son insu. Il est on ne peut plus sensuel