Quand le silence hurle à mon coeur Mes sourires ne sont que des leurres Pour mieux cacher la désespérance Laisser la porte ouverte à la chance
Quand le silence en sourdine s'installe Il n'y a plus d'importance pour le moral Baisser les bras, laisser la vie faire son chemin Puisque contre elle nous n'y pouvons rien
Quand le silence se prépare pour écrire Il y a comme un labyrinthe à franchir Hurler aux quatre vents ne servira à rien Juste à briser le fil que l'espoir détient
Quand le silence est tout ce qui me reste Contre le destin je hurle comme une peste Brisant l'angoisse relevant la tête Aux reflets d'argent d'un miroir aux alouettes
Quand le silence se taira enfin Je ferais alors, confiance au destin.