Assise sur le flanc de la montagne Je porte à la connaissance du vent tes paroles Celles qui désormais m’accompagnent À travers sentiers et rigoles
Très vite la violence de l’écho me revient Inoubliable et foudroyant Il rallume l’espoir jadis éteint D’un monde oublié par le temps
Silencieuse je pense à un paradis terrestre Rempli de beauté et d’innocence S’éloignent de moi les pensées funestes De peur ou d’absence !
Tu es le battement du cœur qui s’accélère À travers les mots que j’emploie pour te décrire Vivifiant, le sang afflue dans mes artères Me donnant du bonheur A en mourir