Je reconnais en moi mon ennemi il dort, Tapi bien au fond, parasite inévitable. Celui qui m'empoisonne la vie, Dehors! toi le squatteur indésirable. Il s'en amuse, me sourit, et se rendort, l'abominable. Je lui voue une haine indicible, n'ayant pas le choix, je me blesse pour l'atteindre. Il ne peut etre invincible, cherchons l'interrupteur pour l'éteindre. Un moyen simple est accessible: de wiskhy je vais l'oindre. Je le sens dans des convulsions atroces, il hurle:"je ne suis pas ton ennemi!!" Trop tard! dans un élan véloce, d'un cul sec, je le banni. Dans une pulsion féroce il prend le contrôle, fier et insoumis. perdant connaissance je l'entends murmurer "Je ne suis pas ton ennemi, je ne suis que bienveillance, je t'aide à supporter les obstacles de la vie. Je suis la noirceur dans la balance, J'absorbe la douleur et l'ennui. Fais moi confiance, le début du bonheur c'est d'être mon ami" Pas de chance, il n'en restera demain qu'une vague résonnance évanouie...