Les rayons ardents du soleil perdent leur temps, Mes fenêtres étant toutes fermées, Ma matinée sera longue je le sens, Je reste oisif, longtemps cloitré, Sur mon lit qui déjà, En a marre de ma présence, Je me lèverai, il le faudra, Et le priverai de cette nuisance, Quand ? Je ne pourrai pas le lui dire, Pour l’instant, je me délaisse, M’enivrant de la douceur dans la ligne de mire, De mon arme, qu’est la paresse…