Oui je t’aimais plus que tout, je le reconnais ; Rassure-toi, je ne t’aimerai plus jamais. Mais je n’oublie pas tout ce que tu fus pour moi, Tu représentes tout ce que je ne suis pas.
Je t’ai aimée, haïe mais je t’ai pardonnée ; Mon affection pour toi n’était pas contrastée, L’aurais-tu oublié ? Reviens à la raison, Je t’implore à genoux, accepte mon pardon.
Je tiens encore à toi plus qu’à ma propre vie, Tu es toujours ma seule et mon unique amie ; Restons unis et soyons amis, je t’en prie, Oui reviens Constance, reviens, je t’en supplie.