Des milliers de taureaux sur des prés en Camargue, Paissent paisiblement, les cornes dans le vent. Mais les gardians arrivent, et ils sont pris en argh Ils les changent de lieu, sans se servir de vans.
Leur robe noire luisante, brille sous le soleil Cet animal sauvage, peut être dangereux A Nîmes dans l’arène, en habit sans pareil Les toréros devront, être très valeureux !
Les gradins sont bondés, les "olé, olé" fusent Les picadors sont là, juchés sur leurs montures Les piques bien affutée, agiront avec ruse Pour exciter la bête, qui n’est pourvue d’armure.
Viennent les banderilles, que plante le matador Sur le dos du taureau, qui en recevra trois. Puis après quelques passes, viendra la mise à mort Quand viendra l’estocade, dans ce combat de rois.
L’animal est à terre, l’homme l’a terrassé Au fil de son épée, de sous la muleta Le sang vient de couler, du corps du bovidé Le soir le toréro, rejoint sa Conchita.