J’aime, lorsque le jour point, sans bruit, Et que s’écartent les voiles de la nuit, Être réveillé et tiré des bras de Morphée Par les arpèges des merles rieurs enchanteurs.
J’aime, ensuite, lorsque leurs chants s’apaisent, Et que le sommeil me ravit à nouveau, Sombrer doucement dans les bras de Morphée, Et dissiper les trop tristes soucis de la veille.
Et, plus tard, et lorsque le Soleil se lève, Et que les feuillages se teintent et s’empourprent, Que la lumière envahisse mes paupières éblouies Et dissipe enfin les vilains cauchemars qui s’enfuient.