La nuit il rêvait aux étoiles comme bien des poissons d'argents rêvent scintillement de lune que la mer berce tendrement dans les reflets de la lagune.
C'était un cabillaud qui suivait sa maman la nuit ce grouillot nageait sous le firmament. Évitant les dangers, aux filets la prison des pêcheurs bien ronchons, appâts et hameçons.
Il vaut mieux pêcher un godillot bêtement que le gentil cabillaud qui suit sa maman.
Plus âgé, il aima un poisson demoiselle et lui dit combien frayer était effrayant, alors elle préféra un petit combattant puis lui jeta un sort qui était sans appel et de l'école le mit au banc avec Rhapsody le hareng.
Ils furent invités au cirque des otaries chantèrent en clé de sole avec la raie manta accompagnés en mélodie d'un poisson-sci toutes les nageoires applaudirent ces poissons-là.
Il vaut mieux pêcher un godillot bêtement que le cabillaud et son copain le hareng.
Ils dansèrent sur des tempêtes avec Rhapsody, firent souvent la fête restèrent amis pour la vie. Cabillaud rêve encore d'étoiles inconnues longtemps il vécut jamais ne mourut morue salé dans l'assiette encore moins mangé tout cru.