Lorsque tu t’offris à moi, nue Par la plus obscure des nuits, La chaleur étouffait tout bruit, J’aimais ta pudeur d’ingénue !
Aux badauds, la grande avenue Offrait son spectacle gratuit… Lorsque tu t’offris à moi, nue, Oh, ce fut ma plus belle nuit !
Tu gisais là, tu étais nue, Tu t’es endormie à minuit. C’est l’amour seul qui m’a conduit A t’inviter, belle inconnue, Pour que tu t’offres à moi, nue.