Par l’ombrage posé sur sa voie. Sinueuse, une veine s’est creusée. Se fissure, l’humain est sans voix. De profondes cicatrices se sont usées.
Le temps pour « Être » s’amenuise. Les passions s’étouffent dans la remise. Les limites sont fragiles à leurs pieds. D’argiles, ayant souvent leurs poings liés.
Les lumières des nations se sont tuent. Elles ne suffisent plus aux attentes, aux choix. L’ombre a pris place pour celle d’un roi. D’un groupe, l’humain pour « Être » n’est plus.
Elles peuvent s’allumer et encore se mouvoir. À nouveau quand « l’Être » sera humain. Cette lumière au fond des yeux : le savoir. Pour une seule et grande nation « l’Humain ».