Perdrez-vous encore longtemps ce chemin. N’y pensez pas Madame, je serais la demain. Elle est la conscience des lendemains La matière noire que l’on tient dans nos mains.
Souvenez-vous des passés encore certains. Ils façonnent le présent de nos pensées. Lorsqu’elle est sereine ; elle structure nos pas. Elle rassemble souvent nos futurs éclatés.
Elle est la racine de toutes les limites. Évacuant l’ordonnée,elle donne aisance Au réel, de l’émotion à l’envie, même épuisante. Lorsque la réflexion devient dense.
Elle s’entoure doucement de l’âge Par défaut de se perdre, ou du temps à venir. À se donner trop d’habitude sans avenir. Elle donne souvent à notre trajectoire des souvenirs.