De ton chemin peut-être je survivrai. Tu t'accroches,tu décides,tu gênes. Au début grandissante, je lui souriais. Par les temps qui courent elle peine.
Au fil de ton école je t'apprenais. Amoureux du métier nous fîmes. Voler en éclat toutes nos pensées. Besoin de partir sous tes yeux blessés.
Elle attend souvent presque tremblante. Rougie de ces pâles expériences. Elle rejette le geste imparfait. Du début à la fin elle panse tes plaies.
Elle s'assoit à côté du banc des grands. Gare à ceux qui peuvent s'en passer. Ils finissent toujours dans le fossé. Touchez là du doigt, vous sortirez du rang.