Le pouvoir du roi, il sort ,il aboie. Il va et vient, va défaire et paraître. Ces amis se courbent, pour les deniers de l'être. Il place, livre les gêneurs en traitre.
Il reçoit, il vante, dehors souffle le vent. Il cède au puissant, pour les faibles il passe. Le roi s'habille, se rend, se montre, il lasse. Il sort des affaires, la justice se glace.
Le peuple attend; les cent jours le rendent certain D'un habit si froissé qu'il préfère aux gens. Les médias le portent, des couleurs, de leurs teints. Par leurs pâleurs, il place ces gens dans ces rangs.
Le feu sous la rampe, sous leurs draps dorés. Les braises du peuple ; leurs sangs pour les faire tomber. Il ressasse souvent qu'en finisse leur temps. Las de plaisir, rassasié du pouvoir, il est temps.