Ces gens heureux du temps qui passent. Ils sont là reniflant, sur le banc cassé Réservant leurs fins, ayant trop servi. Qu’il fait mal ce temps ou les rides se tassent.
De ce creux jamais rempli, par faute de temps. Ou l’espérance criant sa joie, du temps de ces vingt ans. Assis et sifflant, la main dans ses cheveux prise au vent. De ce temps jadis si joyeux, presque réconfortant.
Par le souvenir, de ce lieu, ou défile le temps. Qu’ils s’arrangent du moment, qu’il naisse De ces accueils, de ces jours en dedans. Frustrés, par cette barbarie de gens pesant.
Il finit doucement sur le court, de ce long séjour. Qu’il se déploie vite, ramenant les petites trottinant. Elles arrivent coincées dans l’horloge voilée De cette aiguille lointaine, elles en auront mis du temps.