Elle reviendra avec plus de vigueur, blanche. D’avoir oublié que sa maîtrise était vaine Vous qui avez pillé sans laisser de branche Qu’il s’accroche pour ne pas tomber dans l’arène.
Ils sont entassés, vous qui le fûtes par le passé De vos navires exploités, vous qui vidiez les tiroirs Fouillant leur "eau" profonde, ils auront le trottoir Que cesse vite ce flux « Monseigneur », ils sont arrachés.
Par ce voyage d’écumes, les yeux remplis d’espoirs. Vous qui avez pillé sans laisser de branche Elle vous revient sans cesse,d’avoir crevé leur ciel du soir Bouillonnant de vie, avec le trajet du désespoir.
Faites de leurs mains, les atouts futurs de leurs terres. Renvoyer leurs maîtres à détruire, la voie De celui à construire, ce sont nos futurs espoirs. Pour que l’écume ne soit pas rouge de honte.