Les quatre-saisons n'en reviennent pas. Au bout de vos tourbillons, de vos faux pas. À force de lancer de mauvais cailloux. En vous éloignant du marché comme des voyous.
Sans plus de principe, sans frémissement. Ils ne savent plus, s'éloignant d'eux. Ils se croient si consistants, finissant Leurs leurres, ils s'entassent dans ce creux.
Ils pataugent, ils se poussent des épaules. Et par-dessus, leurs regards s'abandonnent. Que l'onde ne vous ruine, et ils s'adonnent Au temps qui passe, pour que l'onde ne s'affole.
Ils précipitent les affaires, que leurs décisions Ne soit plus haletantes, ils sombreront. Ils décorent de si peu, ils surveillent, rions Rions, qu'il vous protège des quatre-saisons.