Il est brutal, et parfois mal venu. Las de trop de fatigue, il est nu. Sur ce coup mal placé, il fait mal. Il rappelle que sans lui, c’est là rue.
Pourtant certains en font guerre. À ne pas servir la paix, par son silence. À grandir vos propres pas sur vos terres. À le servir sans faux pas, sans cadence.
Il sera à vos côtés, qui que vous soyez. Petits ou grands, pour un temps à serrer les dents. Du réconfort à venir, de l’exploit, de la découverte choyée Par les vôtres, par les autres sans êtres perdant.
Pas besoin de caprice, d’impatience, à force d’erreur. Se cache celui de la connaissance ou celui du bonheur. Il est presque facile, à force de cri, et de cœur. Apaisant de ce corps répondant de vie, il est majeur.