Au fil du temps, elle aiguise sa lame, Larmes et cris sont le salut de son âme, Le sang coule et d'un terrible regard, Elle brise une vie, divine oeuvre d'art ?
Car tu n'es ni des cieux, diamant d'opale, Ni même née de l'abîme ; fée royale, L'amour est ton encre, ta plume saigne, Accepte ma flamme et renie ta haine
Qui, mélées aux eaux noires et saumatres, Aux esprits défunts, proies de l'idolatre, A du noyer bien plus d'une étincelle ; Tantot incomplète, étoile féale, Et soudain éclatante, Lune Infernale, Tu as su aimer, mon coeur s'en rappelle !