O toi la rampante nuisance Quand ta drogue en puissance Ruine à la circonstance Des vies sans abstinence Jusqu’à l’indélébile démence Laisse-moi en pénitence D’Aimer sans résistance Dans le grand silence De mon assurance Ces dits abjects de ton opulence Ne m’appartient leur démence Et ma vigilance Les, garde à ma croyance Que leur violence Dans ta véhémence Est de fortifier ton appétence Au profit de leur médisance Cela me laisse te maudire d’aisance Pour les aimer avec insistance
Aux défunts du fait Mon esprit défait S’empare du souvenir refait Pour poser sans méfait Un baiser de fée Sur leur image recoiffée Par mon cœur épris de bienfait Et dans mes yeux vous serez le parfait Perdu dans l’imparfait De tous ces humains bluffés Par la condition humaine des étouffés Que soit votre cœur en paix Dans votre céleste repos