Il est immonde ce temps Où je pleure repentant Quand le dément De la guerre détruisant Le corps des enfants Ces pauvres innocents Laisse crier mon sentiment A cette croix de géant Qui laisse l’innocent Crever d’indifférent Aiguise mon serment D’être négligent Au sermon des baptisant Tous ces biens pensant Qui voient l’homme autrement Qu’homme passant Pour retourner à son néant
Humain sois sage Pense à ton passage Sur ta terre en usage Il n’y a nul présage Qu’aucun mage N’aura à son usage Pour Prédire cette image Que le néant nage Oui ! Nage Au dessus des nuages Trous noirs quand l’orage Fourbira ses naufrages Alors ce néant sera notre ancrage Jusqu’à la fin des ages Le destin décompte le du de son adage Et le nom des dieux du mirage Souffrira aux rivages De cette pensée sauvage. Elle n’est outrage Mais réalité du sage Quand il ose tenir langage Pour vous éviter dommage Sans prière à sceller des hommages