Il est toujours des combles Pour y laisser trésor Que votre pensée laisse à leur sort Dans l’oubli de la vie des ombres
J’ai tenté de les mener Quelquefois à la brocante Quand à la nuit bienfaisante Mon rêve avait l’art de tambouriner
O douce musique de l’ingéniosité Ta danse de la vie me fêtait Mais jamais une valse ne m’emportait Pour vaincre les viles difficultés
Sauriez-vous dire valeur de cette richesse Je vois ! Vous ne pouvez comprendre Je sais! Moi-même j’ai du attendre Toute une vie que se fasse promesse
Mais là ne furent que fantômes d’illusion Qui ont simplement traversé l’esprit De mon corps bien trop souvent soumis A l’indifférence de toute prétention
Aussi dans les combles de ma pensée Quelques toiles d’araignées protègent Tous ces diamants de mots florilèges Que je dévoilerai peut être à la réalité
Au dernier village de ma bonté Je déposerai quelques mets frugaux Composition de rimes et de mots Pour le plaisir de ceux de la fidélité
Alors trésor je déballerai sur le bel étal De vos désirs, de vos envies de me lire Alors mon cœur vous chantera son délire Pour Vous offrir les joyaux de son récital CF