O mon petit enfant, mon chérubin Belle est la vie quand au matin On s’offre nos câlins Et ton sourire malin Me laisse l’esprit serein Je me garde de te dire, vilain ! Quand mon sommeil mutin Me laisse au matin mauvais teint
Que sont doux nos babillages d’enfant Je ne me lasse de t’écouter et je comprends Ton désir de me voir chantant La berceuse du contentement Quand nos yeux se volent nos sentiments Et ta beauté me rend d’amour, dément D’orgueil parental qui se consent Lorsque tes mains mignonnes font souvent Pour moi des gestes d’apaisement
Ton joli ventre me fait don du satin de ta peau Je nr cesse de lui offrir mes bises en dévot Et la fragilité de ton petit corps n’a de faux Que l’énergie que je t’offre en mes mots Pour te dire petit galopin ne soit sot Papa ce matin ne va au boulot Il reste là pour te tenir chaud Dans ses bras de déménageur lourdaud Dont le cœur est léger quand ton visage beau Lui offre ton sourire en cadeau
TU es l’œuvre de toute ma fierté Je te dis tu es beau mon adoré Mais eux te disent, il est trop beau ce bébé Alors comment te pas de bercer de bonté Et t’admirer comme prince adulé Ta présence ; mon sentiment fait chavirer Et c’est alors qu’au monde si rien n’est parfait Tu es l’unique trésor qu’homme puisse posséder O mon enfant je t’aime comme un possédé