Je ne savais comment était l’amour avant de te connaître. Je vivais étreinte par étreinte, jour par jour, comme si je n’allais mourir jamais. Les femmes qui profitaient, tour à tour, de ma virilité, je consommais leurs chairs, et quand je leur faisais la cour, c’était pour occulter mon but mauvais. Je t’ai connue, et tout s’est transformé subitement : j’ai entrevu la mort au bout de mon chemin... Et depuis lors je sais que l’être aimé peut déborder le moule de son corps et devenir divin.