La discussion avec l'areigné ailée à tête de lion.
Tristement assis sur ma chaise à écouter Radiohead, je pleurais à ma situation, Quand une areigné ailée à tête de lion M'apparue, souriant comme un opiacé Périmé à un pauvre drogué dont le manque Ferait apparaître toutes sortes de visions Poèmesques ou plutôt acatarabrencons. Que puis-je faire pour toi, dis-je à ce saltimbanque. -Rien mon ami, rien de rien! -Voilà bien autre chose, mr est donc chanteur? -Quand s'y prête le bonheur! -Heureux je ne le suis pas plus pas moin qu'un chien... Alors cesse dont, salté! -Ha te voila démasqué! Par Dieu j'en étais certain. -Imbécile l'imper ne fait pas la mélodie, Pas plus que Verlaine faisait le bon rossignole! -Peut-être mais dans mon école Les élèves aprennent ainsi. -Quelle bien étrange école, que y apprends tu? -Et bien dans ma chère école! -Cesse dont de chanter, ou je te torgniol! "Tu me fais peur!" Et c'est ainsi qu' il disparut Comme il était venu. Cepandant il laissa Tomber de son vilain dos un petit papier à poids rouges et bleus que je pris et dépliais, Ce que j'y lus fut à jamais gravé en moi: "Il vaut mieux attraper les monstres chimériques Plutôt que s'essayer au vrai métaphysique Car la vérité est un terme archaïque."