Je voudrais comprendre, mais je n'y arrive pas. Je voudrais hurler,"oh ciel" retrouver ma voie. J'aimerais cesser de pleurer, droguer mon coeur. J'aimerais mourrir mais la mort me fais trop peur.
Ces derniers temps Mon unique plaisir consiste en Ce que je fasse sortir de ma peau Des vers blancs alors que le sang chaud, Triste victime de l'injustice, Coule dans un suplice plein de lubies et de vices. Et lorsque durant ma pathétique besogne, Me demandant ce qui fait de moi un Homme, J'observe comme un intru mon horrible visage, Mon coeur se tu dans la rage. Oui mon reflet me fait horreur Et oui mes pensée m'ecoeur, Car je ne fais que penser à toi Alors que toi tu ne penses plus à moi. Oui je t'aime comme je n'ai jamais aimé Oui je te désire comme jamais je n'ai désiré Oh oui pour toi seul j'aurais était pret à crever... Mais, maintenant, Dieu seul sait comme je te hais!
Je voudrais comprendre, mais je n'y arrive pas. Je voudrais hurler,"oh ciel" retrouver ma voie. J'aimerais cesser de pleurer, droguer mon coeur. J'aimerais mourrir mais la mort me fais trop peur.
Qui a t-il donc de changé en moi? Pourquoi suis-je si triste et si misérable? Oh rassure toi, je ne t'enveux pas. De l'indigence de ma vie je suis le seul coupable.
Ton souvenir dans mon coeur pour toujours... Comme marqué du fer rouge de l'amour.