C'est quand on l'arrête, Qu'il fait mal à la tête, Le tabac qu'on brûle comme des os, Comme une liqueur après de l'eau, Brûlante comme un métal qui fond, Dans notre foie le plus profond, Près des tuyaux cernés de plomb. Ainsi font, font, font, les arrêts glauques, De cette drogue lente et rauque, Qui nous mitraille les tréfonds, Du corps, de l'esprit galvanisé, Ex-statique, qui se meut désormais, Mais dans toutes les histoires il y a un [Mais Comment déglacer cette mixture, Collée à la paroi de nos blessures, Blêmes, pas de répits pour les péris- Pathéticiens, le pathos revisité, Près du boulevard abandonné, De nos vagabondages de luxure.