Corps couchés allongés sur la stèle, Le regard protégé de leurs douces paupières, Vers le ciel sans aucune manière, Il serre fort la main de sa belle.
Un rayon de soleil caresse leurs doux visages, Un sourire illumine leurs bouches immobiles, Le temps sans prise sur eux file, Pour ces deux êtres, il n’y aura plus de cage.
L’Amour est leur linceul, L’espoir est leur départ, L’éternité est dans leurs regards, Deux âmes sœurs sans écueils.
Ces amants ont mille ans, Le marbre vibre encore de leur Amour, Sur leur tombe pour toujours, Juste une brise, caresse du vent.
