Des hauts temples dorés où des parrains obscurs T'offrent leur vanité insatiable en pâture Tu laisses ton cœur choir pour des désirs poubelles Au génie laminoire de tes rêves en dentelle Quand le purin des lois fertilise l'envie Au futur tu abats pour la bourse la vie
Les pingouins des égouts renvoyant à l'infâme Se trainent à genoux pour leur part d'oriflamme Au carnaval hideux des visions hermétiques Les rois convient les gueux aux plaisirs sulfuriques Sous le masque de fer greffé à mon visage Je regarde l'enfer partager son chantage