Ménestrel de l’éther ! Voyageur de l’azur ! N’honores-tu pas la terre de maux gorgée ? Ou alors, quand tu t’élèves, cœur et yeux purs Restent au foyer, au sol trempé de rosée ? Ce foyer que tu peux gagner à tout propos, Sans chanter, juste pour prendre quelque repos !
Abandonne à d’autres l’ombre profonde De la forêt ; ne possèdes-tu pas l’aube D’où tu partages avecque notre monde Ton chant d’une grande beauté tel un baume ; Loyal, tu peux monter en sage et garder Ces places jumelles, l’Azur et le Foyer !
Fourth month, 2019
Variantes (avril deux mille dix-neuf) I Ménestrel de l’éther ! voyageur de l’azur ! I Ménestrel de l’éther voyageant dans l’azur ! I Ménestrel de l’éther parcourant tout l’azur ! II La terre te dégoûte, car de maux gorgée ? VI Sans nul chant, juste pour prendre quelque repos ! VIII De la forêt, tu as le temps après l'aube XI Loyal, en sage tu peux monter et garder XI Constant, tu peux monter en sage et garder XI Constant, en sage tu peux monter et garder