Ton noir s’amincit à petit feu. Les chaires blafardes et obscures s’estompent. Ton nocturne, lentement, fait ses adieux. L’astre lumineux te transperce et te pompe.
Les contrastes subtils et réservés se taisent, Les coloris vifs et précis s’y plaisent. Le cercle indifférent se meut Il impose ses désirs radieux.
Sa tanière est au pays de l’or noir. Il décolle d’où brûle le sang encre de la terre Il révèle l’étendard de sa couleur qui porte peu d’espoir. Tout est rouge sur ces terres, jusqu’à cette mer.